Journée Internationale Des Droits De L'Homme
Journée Internationale Des Droits De L'Homme 76 ans après la Déclaration universelle des droits de l’homme : un idéal toujours universel?
Journée Internationale Des Droits De L'Homme 76 ans après la Déclaration universelle des droits de l’homme : un idéal toujours universel?
La violence à l'égard des femmes et des filles demeure l'une des violations des droits humains les plus répandues à l'échelle mondiale. Près d'une femme sur trois, soit environ 736 millions, a subi des violences physiques, sexuelles, voire les deux, de la part d'un partenaire intime ou autre. Ce fléau s'intensifie dans divers cadres tels que l'espace professionnel et numérique. La pandémie de Covid-19, les conflits et les perturbations climatiques ont exacerbé ce phénomène alarmant.
La Confédération syndicale arabe (CSA) et l'Organisation régionale africaine de la Confédération syndicale internationale (CSI-Afrique) ont coorganisé une réunion les 3 et 4 juillet à Alger. Soutenue par la Confédération syndicale internationale (CSI) et le Centre de transition juste, et accueillie par l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), la rencontre a rassemblé des syndicalistes d'Afrique et de la région arabe qui ont discuté des moyens par lesquels les syndicats peuvent contribuer à la mise en place d'une gouvernance migratoire fondée sur des droits protégeant et respectant les travailleurs migrants et contribuant à la réalisation des objectifs de développement durable à la fois dans les pays d'origine et les pays d’accueil.
L'essor de l'économie des plateformes et de l’emploi dans ce secteur présente des opportunités de création d'emplois et de flexibilisation des processus de production. Cela comporte également des risques pour le respect des normes internationales du travail et des principes du travail décent en ce qui concerne la protection des travailleurs et la couverture sociale notamment.
Après plusieurs reports, le Parlement iraquien vient de voter une nouvelle loi sur la sécurité sociale et la retraite. Objectif : réduire la pression sur le secteur public qui a vu le nombre de ses employés passer de 850 000 en 2003 à environ 4,5 millions d'employés, pour une masse salariale d’environ 46 billions de dinars irakiens (31 milliards de dollars) par an.